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Ah ! Ce que j'étais content d'apprendre qu'IQ allait sortir un nouvel album.
Après l'immense déception que m'avait procuré "Resistance", que je n'écoute jamais alors que j'ai un immense plaisir à écouter tous les autres, j'avais plutôt apprécié le premier extrait "No Dominion".
Oui, mais voilà, je crois que celui là, je ne vais pas l'écouter beaucoup non plus !
Rien à voir avec "Resistance" pourtant !
Musicalement, IQ a retrouvé sa verve et son inspiration, il y a des mélodies, c'est bien joué, de belles trouvailles sonores, des solis sympa, de la diversité et j'ai toujours aimé la voix de Peter Nichols.
Qu'est-ce qui ne va pas alors me direz-vous ?
Hé bien, ce qui ne vas pas, c'est que hormis dans les passages calmes, le chant ne trouve pas sa place.
C'est comme si les morceaux avaient été construits pour être des instrumentaux et que le chanteur se trouvait contraint d'essayer de poser le texte dessus !
Alors, du coup, il n'y a pas de mélodie vocale ! Navrant, parce que vraiment, musicalement, ça tient vraiment bien la route.
Je mets 3 parce que je n'avais mis que 2 à "Resistance", et que fondamentalement je le trouve bien meilleur, mais quel gâchis !
Je retourne donc à tous leurs autres albums, et je vous dis "à dans 5 ans".
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J’avoue que depuis "The Seventh House" et "Dark Matter", j’ai suivi très distraitement la carrière d’IQ. Les productions du groupe depuis ces deux albums m’ont toujours donné l’impression de les paraphraser sans jamais arriver à les égaler. C’était la même chose en moins bien et en plus long. Aussi ai-je abordé l’écoute de "Dominion" en étant déjà à moitié convaincu que le disque allait me faire sombrer dans l’ennui comme ses prédécesseurs.
Pourtant, dès les premières notes de ‘The Unknown Door’, je me suis senti captivé par la musique. Un intérêt qui ne s’est pas relâché tout le temps d’un titre fleuve sachant alterner moments de tension et de calme comme tout amateur de rock progressif aime à l’entendre. Les quatre autres titres sont de la même eau, l’album ne souffrant d’aucune baisse de régime.
IQ ne réinvente rien mais revient à une inspiration haut de gamme du niveau des deux albums précités. Et cela fait un bien fou.
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Premier véritable album et premier grand classique du néo-prog. Non IQ ne joue pas en deuxième division du néo-prog mais est bien plus qu'un second couteau, sinon un égal au Marillion de Fish (pour devenir numéro 1 ensuite lorsque Marillion a changé d'orientation). Des fresques épiques, le chant fragile de Peter Nicholls, la panoplie de claviers de Martin Orford, un Mike Holmes tranchant tout comme son compère Tim Esau (par contre IQ aurait gagné a prendre le Paul Cook de The Sex Pistols, cet homonyme semble peiner à suivre la cadence - mais il se remettra bien vite au niveau) et un concept qui nous embarque - petit clin d’œil au groupe Yes - au plus profond du grenier pour écouter ce que les créatures des ténèbres veulent partager avec notre âme d'enfant, avant de s'en délecter. 'Awake And Nervous' est le parangon du morceau néo-prog: les claviers tantôt solennels, puis inquiétants, la voix qui virevolte avant de s'échapper au détour d'un couloir de Pandemonium et la guitare qui se réveille de sa torpeur pour nous asséner un riff aussi hypnotique qu'un coucher de soleil sur la campagne de Lund. IQ ne fera jamais aussi bien ensuite dans cette veine, peut-être en raison d'une maturité qui a gommé les éclats parfois maladroits de sa jeunesse (et encore "My Baby Treats Me Right 'Cos I'm A Hard Lovin' Man All Night Long" est indispensable et sert de piste de lancement au duo orgue/guitare qui ouvre 'The Enemy Smack') et d'une volonté de gaver son auditeur sans se soucier de sa digestion, une pratique hélas trop répandue dans le prog moderne alors qu'en de rares exceptions, le prog classique s'aventurait au-delà de 50 minutes.
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J ai découvert IQ récemment et je ne le regrette pas ;toutes ces années perdues sans ce fantastique groupe de prog le plus pur qui ne s est pas fourvoyer ds la pop mievre de certains morceaux de Genesis ou Marillion(dernières moutures)cet album est fantastique(les 2 albums précédents n étaient pas si nuls bien que decriés par la presse)le maître à penser et créer est bien Peter Nicholls et ça s entend :sa voix qui était proche de Gabriel au début est ici plus identifiable et fantastique....j adore ce groupe
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Lorsque j'ai écouté cet album pour la première fois, j'ai pris ma plus grosse baffe musicale depuis très, très, très longtemps !
Une baffe musicale ? Que dis-je ?
2 baffes musicales puisque cet album est double !
Et d'ailleurs, si je peux me permettre, IL FAUT ABSOLUMENT PRENDRE LE DOUBLE !
IQ vient de sortir un album totalement inattendu, une sorte de renouveau sans censure.
Pourquoi ?
Parce que d'abord, dans celui-ci, le son est ENORME !
Parce qu'ensuite, dans celui-ci, tout est plus dense, plus appuyé, ceci produisant des atmosphères palpables.
Parce qu'enfin, l'approche est radicalement différente de tous leurs autres disques, en ce sens qu'ici des sonorités émergent de partout y compris dans les parties chantées, surprenant sans cesse l'auditeur, là où auparavant chaque instrument avait une place bien définie.
Je m'explique: dans cet album, on est constamment pris au tripes par les breaks, les riffs, les mélodies secondaires de l'un ou l'autre des instruments, il n'y a jamais plus de 2 minutes sans qu'il se passe quelque chose.
De plus la palette sonore utilisée est d'une richesse incroyable: multiples claviers et samplers, guitares électriques, acoustiques et autres instruments à cordes, divers sons de basses frettées et fretless, batteries et percussions ne sont pas en reste, et on a même le droit à quelques machines !
Ah, et dire que j'allais oublier, je crois bien que Peter Nicholls n'a jamais si bien chanté.
IQ vient donc de se lâcher totalement et aussi de rompre quelque peu avec la recette utilisée (avec bonheur) depuis Ever, évitant ainsi l'auto-plagiat que je sentais poindre avec Frequency et le risque de s'enliser.
Si vous êtes ouverts au changement et prêts à vous laisser désarçonner, sautez sur cet album !
Il est certainement moins abordable que les précédents, plus touffu, plus pesant mais certainement pas moins jouissif.
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J'ai tous les albums d'IQ, les ai vu en concert quelques fois et aime vraiment la musique de ce groupe. Mais là, non. Non, non et non !
Je mets 2 pour ne pas mettre un par respect pour le groupe !
Régulièrement, les critiques concernant IQ visent à noter le manque d'originalité, ou la voix de Nicholls qui ne fait pas l'unanimité !
Et là, bizarrement, un concert de louanges !
Vraiment je ne comprends pas.
Je trouve cet album ennuyeux au possible, bien joué, c'est vrai mais ennuyeux.
Où sont les mélodies ?
Je vous le demande ... parce qu'après de nombreuses écoutes, je ne les ai toujours pas trouvées !
C'était pourtant la marque de fabrique du groupe jusqu'ici !
Du son, oui.
Du bruit, oui.
Et puis c'est tout.
Next !
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