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Un album difficile au début, puis prenant, et maintenant il tourne en boucle entre mes oreilles. Pas à la portée de tout le monde, comme tous les albums de ces norvégiens. Album à comparer avec l’atmosphère des albums de SOUP autre combo norvégien dans les meilleurs du genre. Donc ne pas s’arrêter à la 2 ème écoute, vous ne le regretterez pas ensuite.
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Take a Deep Breath, and relax.
Gazpacho est de retour avec un album plein de subtilités, de celles que l'on trouvait notamment sur "Night".
Entre dentelles mélodiques et chorus contenus, tout le savoir faire du groupe se retrouve dans ce nouvel album qu'il convient d'écouter au calme pour profiter une nouvelle fois du savoir-faire incomparable des norvégiens.
Une galette idéale pour les soirées d'hiver invitant à la mélancolie.
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Je ne pensais pas qu'il était possible de faire mieux que Tick Tock et surtout Night.... Et bien là ils font aussi bien les bougres! En fait cet album conserve la patte du groupe mais l'ambiance est ici un peu différente.... Enfin ça reste du GAZPACHO, hein.... Mais il y aurait une pointe de magie en plus que ça m'étonnerait pas. Et ce gimmick qui parsème la galette est fort bien trouvé ma foi, il n'est pas redondant et la durée de l'album est juste parfaite. On est pas sur les quasi 80 minutes de la plupart des groupes Prog. Ici c'est 50 minutes de bonheur auditif 😁
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Premier Gazpacho qui ne m'a pas donné envie de le réécouter tout de suite. Je ne saurais quoi dire de plus, eux qui savent pourtant si bien manier les chutes, les contre-pieds, créer une attente et faire savourer sa déconstruction... Mais je n'ai trouvé rien de tout ça ici. Gazpacho c'est, dans mon cœur, le détail qui me fait sursauter le cœur, et là c'est comme s'il ne restait que la ganache sans la crème pâtissière. Ce n'est pas raté pour autant, de la part de beaucoup d'autres groupes ça aurait même déjà été un coup de maître, mais voilà : c'est Gazpacho, avec un tel sans-faute jusque-là il va sans dire qu'on reste avec une certaine déception.
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Entièrement d'accord avec mon confrère. L'album ne décolle pas (sans jeu de mot par rapport au titre). Il reste à terre exempt des envolées lyriques qui faisaient le charme des précédents albums du groupe, notamment des émotions poignantes qu'elles véhiculaient et qui ont forgé leur réputation. Un trois en guise d'avertissement et qui vient ternir le quasi sans faute des norvégiens jusqu'à ce jour.
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Après un Soyuz one disons, acceptable, Gazpacho dérape avec Hypomania pour ne plus retrouver son équilibre. Des compositions mou du genou qui s'enlisent, un chant traînant, une instrumentation souvent (trop) minimaliste, on a connu mieux.
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