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Il m'aura fallu du temps avant d'acquérir cet album et pouvoir enfin jeter mes oreilles dessus, la faute au "Future Bites" qui m'a bien refroidi dans mes velléités d'accéder le plus tôt possible aux nouvelles oeuvres de Mr Wilson.
Mais comme tout vient à point à qui sait attendre, c'est avec une délectation certaine que les 42 minutes de "The Overview" glissent entre mes oreilles pour la 3ème fois consécutive. Comme l'a si bien souligné notre chroniqueur, le temps semble littéralement suspendu à l'écoute de ces deux pièces on ne peut plus cohérentes, et ce jusque dans le final merveilleux à l'issue duquel le silence s'impose, le temps de redescendre sur terre.
Ecoute à plusieurs niveaux, pour savourer les rythmiques incroyables de Craig Blundell, débusquer les éléments floydiens période Dark Side très présents dans la deuxième plage, saliver à l'écoute des multiples thèmes et leurs enchaînements si naturels, admirer Adam Holtzman et ses parties de claviers incroyables.
Bref, assez passé de temps à vous écrire, je retourne à cette écoute addictive que le saxo de Theo Travis emmène loin, très loin des vicissitudes du quotidien.
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Un premier CD qui a failli me réconcilier avec Frost : du prog moderne et inspiré, enfin débarrassé des oripeaux de production qui m'insupportent habituellement avec ce groupe, des mélodies inspirées bref, j'ai crû rêver.
Las, le deuxième CD repart dans la veine bruitiste des précédents albums, avec une technicité dénuée de toute émotion à cause d'une surproduction systématique.
Définitivement pas ma tasse de thé.
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Une bien belle offrande que ce délicieux album tout en douceur, idéal pour une écoute automnale.
On retrouve bien entendu toute la palette sonore du jeu de guitare du maestro, des accents bluesy initiaux jusqu'aux soli les plus flamboyants.
Et la touche féminine apportée par Romany colore un peu plus le spectre mélancolique, tel un bilan d'une carrière à ce jour encore inachevée (d'autant qu'un successeur est d'ores et déjà annoncé).
Quant à 'Scattered', que dire ... c'est du niveau de 'High Hopes' ou encore 'On the Turning Away'.
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La présence de Daniel Lanois à la production est-elle en rapport avec la présence de titres bien plus ramassés qu'habituellement ? Avec des visées de diffusion radiophonique ?
Toujours est-il que malgré la qualité et la variété des compositions, je ressors frustré de l'écoute de cet album, la faute à un formatage un peu trop systématique des différents titres, ne laissant pas de place aux habituels développements et variations que l'on trouve dans la musique du groupe.
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Merci à Childeric d'avoir attiré mon attention sur ce groupe qui m'était inconnu, et sur cet album en particulier.
C'est beau, envoûtant, magnifique, mais aussi terriblement long.
'Embers' est une merveille qui vient clôturer de façon magistrale 72 minutes quelque peu inégales : une entame splendide, une fin extraordinaire, mais aussi un ventre mou qui finit par détourner l'attention de l'essentiel.
A rapprocher de la collaboration entre Lisa Gerrard et Klaus Schulze, dans un style certes un peu moins éthéré mais tout aussi hypnotisant.
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Nouvel album oui et non puisque celui-ci a été écrit et composé en même temps que son prédécesseur, d'où les analogies.
Galahad excelle toujours dans l'art de composer des mélodies passionnantes aux rebondissements multiples. Le tout est servi par des musiciens excellents, jamais avares de soli bien sentis. Rien de révolutionnaire dans le style, mais l'ensemble est tellement bien fait que l'on se laisse encore une fois emporter par la vague d'un néo-progressif luxuriant et bienfaisant.
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