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Compte : LECTEUR  (création le 25/06/2022)
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Déjà attiré par la musique très jeune en raison d’un cadre familial favorable, c’est à l’âge de 7 ans, que Argus de Wishbone Ash et le mythique ‘Bohemian Rhapsody’ de Queen m’ouvrent les portes de l’univers fascinant du rock. Après avoir usé jusqu’à la corde mes copies des Greatest Hits du même groupe, je me mets à explorer les discographies d’artistes comme Pink Floyd, Led Zep, Genesis, Wishbone Ash, ou encore Porcupine Tree (LE groupe vraiment chouette mais auquel je n’arriverai jamais à mettre un 10/10 à un de leurs albums parce que même sur un quasi chef-d’œuvre comme Fear Of A Blank Planet il y a toujours quelques détails qui font une ombre au tableau, essayez de dire cette phrase sans reprendre votre souffle. Tiens ça fait bizarre de mettre Porcupine Tree à côté du Zep et du Floyd)… J’apprécie particulièrement le rock progressif et le classic rock des ‘70s.
Par ordre vaguement croissant de préférence, quelques albums parmi mes préférés :
Didier Super - Ben Quoi? (2008)
‘Rebecca Duhamel’ reste l’une des plus belles chansons d’amour de tous les temps.
Didier Super - Vaut mieux en rire que s’en foutre (2004)
Y’en a des biens…
Opeth - Blackwater Park (2001)
L’album qui ouvre les portes de la perception… des musiques extrêmes.
King Crimson - Discipline (1981)
Certes, Red est plus épique, mais les petits faibles ne s’expliquent pas…
Steven Wilson - Hand. Cannot. Erase. (2015)
Fallait que j’en case un de Stevie. Celui là. Aucun autre.
Kate Bush - Never For Ever (1980)
Un chouille plus constant que The Dreaming. À quelques notes de fretless près.
Wishbone Ash - Argus (1972)
Madeleine de Proust. Mais objectivement sous-estimé.
Crosby, Stills, Nash & Young - CSNY 1974 (2014)
100 balles le coffret. Investissez dans quelque chose d’utile.
Neil Young - Harvest (1972)
« It’s better to burn out than to fade away. » Neil, lui, continuera de brûler. Même après le meilleur.
Yes - Close To The Edge (1972)
Rock progressiste. 72, année du triptyque…
Robert Wyatt - Rock Bottom (1974)
Le skeud qui abolit toutes les frontières entre rêve et réalité, entre tangible et abstrait, entre sérénité et malaise, entre la vie… et la vie.
J’en ai « oublié » plein, plus importants, plus novateurs, plus épiques, plus reconnus, mais j’avais besoin d’un échantillon représentatif.
Voili voilou, fin de l’egotrip !
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SES 5 PREMIERS GENRES FAVORIS
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